(Couplet 1) Ce matin, j’ai roulé hors du lit, Les cheveux en vr

(Couplet 1) Ce matin, j’ai roulé hors du lit, Les cheveux en vrac, le regard aigri. Direction cuisine, objectif précis : Un café bien noir… et mon croissant béni ! Mais quand j’ouvre le sac en papier, Ô tragédie, il s’est évaporé ! Rien qu’une miette posée sur la table, Mon petit-déj’ a fui, c’est impardonnable ! (Refrain) Ah, la vie est dure, la vie est folle, Quand c’est mon petit-déj’ qui s’envole ! Mais tant pis, on chante, on danse, Avec un café... sans substance ! (Couplet 2) Je cherche, j’inspecte, je fouille les recoins, Aurait-il sauté par la fenêtre ce matin ? Ma moitié me regarde, l’air innocent, Mais son sourire… il cache un instant ! "Dis-moi, chérie, sois franche un peu…" Elle rigole : "Je l’ai mangé, j’avais faim, tu peux ?" Mon cœur se brise, mon monde s’écroule, Un croissant volé… quel coup de boule ! (Refrain) Ah, la vie est dure, la vie est folle, Quand c’est mon petit-déj’ qui s’envole ! Mais tant pis, on chante, on danse, Avec un café... sans substance ! (Couplet 3) Je prends mon manteau, direction la rue, Pas question de rester battu ! Dans la boulangerie, dernier espoir, Mais il n’y a plus de croissants ce soir… "Pourquoi tant de malheurs sur Terre ?" Le boulanger rit : "Faut se lever plus tôt, mon frère !" Alors je pars, déçu mais digne, Un jour, je vaincrai ce destin indigne ! (Pont musical – instrumental festif, avec claquements de mains et sifflements) (Refrain final – accélération du rythme, ambiance euphorique) Ah, la vie est dure, la vie est folle, Quand c’est mon petit-déj’ qui s’envole ! Mais tant pis, on chante, on danse, Avec un café... sans substance ! (Finale dramatique – ralentissement du rythme) Mais demain matin, je prends les devants, Et j’achète DEUX croissants… je prévois le coup avant !