Au creux des racines, la vie murmure, Sous l’éclat des étoiles, douce et pure, La Terre respire, son souffle subtil, Éveille en mon âme un chant fragile. Les vents caressent les feuilles en danse, L’eau chante en secret sa révérence, Dans chaque rayon, la lumière s’enlace, Écho d’un monde où tout trouve sa place. Subtile est la force qui guide mes pas, Dans le silence, je me perds en toi, Gaïa, ma mère, essence sacrée, Dans ton étreinte, je suis portée. Entre ciel et terre, le souffle s’élève, Un pont d’amour que rien n’altère, Je deviens l’onde, je deviens le vent, Dans ce voyage, je suis vivant.